Oh d’Eole pour Michel Robert

31 juillet 2012 Non Par Jumpinews

Oh d'Eole & Marc Bettinger

Le Haras de Hus réinvestit !

En rachetant Oh d’Éole à François Mathy, le Haras de Hus reprend ses investissements, notamment pour son cavalier de tête, Michel Robert. La petite jument Selle Français, est une fille de Kannan et d’Éole des Bruyères ( Papillon Rouge), née en Normandie chez Patricia et Patrick Bizot. Elle  fit ses premières épreuves SHF sous la selle de Yoann Levot puis de Pénélope Leprevost avant de rejoindre les écuries de François Mathy. De la Belgique, elle prit un vol via l’Atlantique pour  la selle de MacLain Ward avec lequel elle remportait plusieurs grosses épreuves. Privé de compétitions suite à l’immobilisation de son cavalier américain, Oh d’Éole retournait dans les écuries belges pour les évoluer depuis le mois d’avril sous les couleurs allemandes de Marc Bettinger. Un couple des plus performants, qui fit alors sensation en remportant de magnifiques épreuves lors des CSI d’Ebreichsdorf et de Nieuwpoort Haven.

 

Oh d'Eole. La fierté pour Bettinger et bien d'autres...

Le couronnement eut lieu début juin à Balve, quand Oh d’Éole menait son talentueux cavalier au titre suprême lors des championnats d’Allemagne de CSO. Enchainant encore de bons résultats, comme sa seconde place au CSI de Fontainebleau, Oh d’Éole marquait de son empreinte le terrain d’Aix-la-Chapelle.

Des résultats qui ont sans doute aiguisé les convoitises et c’est donc finalement le Haras de Hus qui s’octroie la prometteuse jument pangarée.

Âgée de 10ans, Oh d’Éole semble donc promettre d’un bel avenir et nul doute que le plus expérimenté des cavaliers français aura à coeur de lui apporter toute son expérience.

Une nouvelle recrue de choix pour le Haras de Hus qui après une période de liquidation des stocks, semble donc reprendre ses investissements. De bon augure pour l’avenir sportif du Haras de Hus et une nouvelle reconnaissance pour l’élevage français, tendant à prouver une nouvelle fois, que malgré ses périodes économiques difficiles, tout reste possible.

À suivre…